Sunrise Wrestling Project
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Intro #1 - THANK GOD HE'S DEAD !

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Intro #1 - THANK GOD HE'S DEAD ! Empty Intro #1 - THANK GOD HE'S DEAD !

Message par TXI Sam 11 Juil - 0:56

*Les images arriveront sous peu.

"WE'RE ALL REUNITED TODAY TO HONOR THE MEMORY OF VIRGIL RILEY RUNNELS JUNIOR, ALSO KNOWN AS DUSTY RHODES..."

Dans la chaleur accablante d'un paysage de campagne texan, ces mots résonnent comme des coups de massue sur l'ensemble des personnes amassées pour effectuer un dernier adieu à leur proche, à leur ami, à leur connaissance, ou à leur mentor. Famille, amis, membres du cercle fermé du monde de la lutte regardent tour à tour les personnes s'approcher du cercueil de celui pour qui ils sont là aujourd'hui, écoutent les témoignages poignants concernant le défunt... A la suite d'une cérémonie pesante, c'est l'heure d'enterrer les planches et par la même occasion l'homme qui se trouvent à l'intérieur. Moment difficile pour certains, qui ne peuvent s'empêcher de tirer quelques larmes. D'autres regardent timidement, le vague à l'âme et dans leurs yeux. Rares sont ceux qui restent impassibles devant cette descente, marquant sans doute la dernière image qui restera dans leur mémoire lorsque quelqu'un leur mentionnera le nom de Dusty Rhodes. La cérémonie touche à sa fin, et le groupe uni venu rendre hommage au défunt se dissout petit à petit. Certains s'en vont, d'autres se rapprochent de la tombe, les autres tentant tant bien que mal de réconforter la famille Runnels. Dans cette famille se trouve quatre enfants, cinq petits-enfants, touchés de plein fouet par cette perte tragique. Parmi eux, un certain... Cody Rhodes. Ce dernier, resté stoïque face à la carcasse de son père, doit faire face à la multitude de tapes réconfortantes sur ses épaules, de mains ne cherchant qu'à être serrées, et de chaudes paroles ne cherchant qu'à être considérées...

??? - Je sais ce que cela fait, Cody...

De longues secondes passent sans que Cody réponde. Il reste cohérent dans l'attitude qui est la sienne depuis le début de la journée : fermée. Finalement, il se retrouve, et découvre face à lui un autre membre d'une grande famille de lutteurs, Chavo Guerrero.

CODY RHODES - J'ai l'impression d'entendre cela tout le temps...

CHAVO GUERRERO - La différence c'est que toi comme moi sommes du même monde et avons grandi dans la même situation.

Nouveau silence. Il faut dire que l'américain n'est pas très loquace.

CHAVO GUERRERO - Tu ne pleures pas ?

CODY RHODES - Plus maintenant. Je passe à autre chose.

CHAVO GUERRERO - Déjà ? Ne me dis pas que tu n'es pas affecté, parce que tu mentirais.

CODY RHODES - Evidemment que cela me touche. Mais je passe doucement la phase de la tristesse, pour aller vers celle de la fatalité et de la rancoeur.

CHAVO GUERRERO - Tu ne vas quand même pas sortir non plus le discours du "Tant mieux qu'il soit mort" quand même... C'est dangereux d'en vouloir à la Terre entière, surtout avec une émotion pareille.

CODY RHODES - Rassures-toi, cela n'a rien à voir avec mon père.

CHAVO GUERRERO - Cela a à voir avec quoi alors ?

Rhodes se retourne, regard fuyant en direction des quelques personnes encore présentes sur les lieux.

CODY RHODES - Dis-moi, tu n'as pas l'impression de voir exactement les mêmes têtes qu'il y a dix ans ?

CHAVO GUERRERO - Quand mon oncle est mort ?

CODY RHODES - Quand ton oncle est mort oui.

CHAVO GUERRERO - Effectivement, y'a des gars qui étaient déjà là il y a dix ans. Mais c'est normal, entre lutteurs on se soutient, nous sommes une grande famille !

CODY RHODES - Je n'ai pas l'impression qu'en dix ans une famille texano-mexicaine se soit créée.

CHAVO GUERRERO - Arrêtes de faire ton rabat-joie. On est entre personnes du métier, c'est normal qu'ils viennent ! Ils sont là pour Dusty !

CODY RHODES - Là pour Dusty ? Laisses-moi rire !

CHAVO GUERRERO - Pourquoi dis-tu cela ?

CODY RHODES - Parce que j'ai l'intime conviction que les trois quarts de ces prétendues personnes appartenant au monde de la lutte ne connaissaient pas Dusty, qu'il les a peut-être serré la main une fois, et encore...

CHAVO GUERRERO - Tu dis ça sous le coup de l'énervement ! Peut-être qu'ils admiraient ton père tout simplement. Peut-être même que c'est ce dernier qui les a entraînés, qui les a lancés à la WWE.

CODY RHODES - Ou peut-être qu'ils étaient là pour autre chose...

CHAVO GUERRERO - Pour autre chose que Dusty ? Je pense pas qu'il y ait autant d'adeptes de l'Undertaker que cela.

CODY RHODES - Mais bien évidemment qu'ils sont là pour autre chose !

CHAVO GUERRERO - Et pour quoi donc ?

CODY RHODES - Je vais te donner un exemple bien simple, un exemple qui te concerne parfaitement, vu que tu as été aux premières loges. Remontons le temps et revenons en novembre 2005. Tu trouves Eddie étalé par terre dans une chambre d'hôtel. Funérailles exceptionnelles, hommages exceptionnels, vidéos hommages, pas de soucis là dessus. Ce n'est pas ça qui me torture, mais bel et bien ce qu'il s'est passé deux mois plus tard. D'ailleurs, Vincent Kennedy McMahon, dans sa bonté habituelle, s'est servi de cela un peu plus loin en 2006... Royal Rumble 2006. Rey Mysterio Jr. gagne le match, en restant plus d'une heure sur le ring. Très vite, l'histoire de la victoire du fait de la mort d'Eddie Guerrero sort, comme quoi ce serait presque un hommage, Mysterio ayant été l'ami d'Eddie. WrestleMania XXII, il gagne le titre, brassard en hommage à Eddie sur le bras, titre sur les hanches. Tu ne t'es jamais posé des questions à ce sujet ?

CHAVO GUERRERO - C'est à dire ?

CODY RHODES - Tu ne t'es jamais dit que Rey avait joué la carte de l'homme meurtri par la mort de son ami pour pouvoir s'attirer de la sympathie et arriver à ses fins ? Tu ne t'es jamais dit que le représentant de toute cette émotion, celui qui aurait du exploiter toute cette compassion de la part du public, compassion qu'a utilisé si lâchement McMahon, ça n'aurait pas dû être l'underdog masqué qui joue les indiens à WrestleMania XXII, mais bel et bien l'homme qui s'est fait battre plus tard dans sa carrière par Hornswoggle et a qui on a littéralement craché à la gueule ? Tu ne t'es jamais dit que tout ce cérémonial, toutes ces personnes qui sont là aujourd'hui, et qui étaient là il y a dix ans, n'étaient pas là juste pour se faire bien voir, pour chercher le push ? Pour jouer les bêtes blessées, pour faire tirer une larme à McMahon, pour faire tirer une larme au public, pour avoir une popularité, un starpower et pouvoir gravir les échelons ainsi ?

CHAVO GUERRERO - Ce n'est pas tout simplement juste parce qu'on se connait tous ?

CODY RHODES - C'est pas The Wrestler ici ! Dusty n'était pas Mickey Rourke ! On est pas non plus il y a vingt ans où tu changeais de fédération comme tu changeais de chemise ! Aujourd'hui ce n'est plus le cas. Les fédérations t'appartiennent, tu as un contrat, lié comme le mariage jusqu'à la fin. Et si jamais le contrat ne va pas à échéance, ce ne sera jamais du fait de tes envies d'ailleurs, mais parce que ton employeur l'aura décidé pour toi, en te virant sans ménagement. Aujourd'hui, tu n'as peut-être même plus la chance de pouvoir garder le nom de lutteur que tu veux jusqu'à la fin de ta carrière ! Autrement dit, les temps ont changé, le rapport de force également. Tu n'as plus le contrôle de ta carrière, ce sont les fédérations qui l'ont pour toi. Ce n'est plus ton talent qui est repéré en premier, c'est le nombre de billets verts que tu pourrais rapporter. En bref, tu n'es plus seulement un lutteur, tu es un lutteur et un entertainer pour les fans. Et tu n'es plus seulement un lutteur pour les fédérations également. Au final, comme l'avait si bien dit Punk à l'époque, tu n'es qu'une roue du carrosse, qui continuera à rouler sans toi si jamais tu décides de t'en aller. Ainsi, si jamais tu veux réussir, il faut te faire remarquer. Il te faut quelque chose, sinon tu finis à la trappe. Et si jamais tu n'es pas un assez bon bouffeur de cul ou pas un assez bon entertainer, tu ne te feras pas remarquer. Alors tu décides de te faire passer pour un mec ému par la mort d'un grand de ce business, un grand qui t'aurais "inspiré", un grand qui t'aurais "entraîné", quelqu'un qui t'aurais donné la passion pour la lutte. Après tout, HBK a bien grandi dans l'ombre de Ric Flair, et de ce fait a mis fin à sa carrière. Jericho a bien livré une lutte sans merci avec ce même Michaels à travers ce même credo-là. Et, que tu le veuilles ou non, Mysterio a bien gagné son premier titre mondial en se servant de toute l'émotion qu'a suscité la mort d'Eddie. Et des exemples tu en as des centaines. Si Edge n'avait pas mis fin prématurément à sa carrière, je suis certain que Christian serait encore en train d'attendre son tour pour le titre mondial... En clair, tu fais l'émoustillé, tu attires la compassion. Tu attires la compassion, tu fais réagir. Tu fais réagir, tu deviens intéressant pour McMahon. Point à la ligne. Et je suis sur que dans le lot, tu dois avoir au moins un ou deux requins passés par NXT ou ailleurs qui doivent avoir cette idée en tête.

CHAVO GUERRERO - Mais si ça te tracasse tant, pourquoi tu n'exploites pas toi même cette opportunité ?

CODY RHODES - Le jour où tu me verras implorer le public, jouer les victimes en prétendant vouloir gagner "au nom du père", il n'est pas venu ! De même que je ne ferais pas comme les pseudo-rebelles qui prétendent que c'est presque tant mieux que leur père soit mort, histoire d'être libéré d'un héritage pesant et de faire son bonhomme de chemin. Cette technique, ça marche pour choquer les petits fans avec des T-Shirts de Cena, mais pas la plupart des gens qui savent que l'homme en question veut juste faire croire qu'il a de grosses couilles. Puis je pense avoir assez subi de comparaisons avec mon père à la WWE pour passer à autre chose.

CHAVO GUERRERO - Passer à autre chose ?

CODY RHODES - Ouais. Et pas seulement par rapport à mon père. Par rapport à la 'E aussi.

??? - Tu veux nous quitter, Cody ?

Vincent Kennedy McMahon, toujours au bon endroit au bon moment.

CODY RHODES - Possible.

VINCE McMAHON - Avant toute chose, désolé pour ton père. Toi comme moi savons que nous étions très proches et qu'il était partie intégrante de la vie de la WWE. Mes condoléances...

CODY RHODES - Merc...

VINCE McMAHON - Maintenant, venons en au fait, monsieur a des états d'âme ?

CODY RHODES - Possible.

VINCE McMAHON - Et pourquoi cela ? Ca te dérange de te faire bien voir des fans parce que ton père est décédé ? Cela te dérange de pouvoir monter dans la carte plus facilement grâce à cela ? Il y a des choses à exploiter avec cet angle, et toi comme moi le savons Cody.

CODY RHODES - Mais ça n'arrivera pas. Votre cupidité et votre manque perpétuel d'inventivité ont déjà suffisamment ruiné ma carrière.

VINCE McMAHON - Je te demande pardon ? C'est vrai que des titres par équipes et des titres Intercontinental, c'est tout sauf honorable !

CODY RHODES - Les titres n'ont rien à voir là-dedans. On peut gagner vingt-cinq titres mondiaux et pourtant être toujours aussi mal recyclé, demandez aux Cena et Orton ce qu'ils en pensent du sujet.

VINCE McMAHON - Tu voulais de l'inventivité ? Je crois qu'entre Hardcore Holly, Priceless, Legacy, tes périodes Dashing, Undashing, Rhodes Scholars, Stardust... T'as pas mal évolué quand même, fait preuve au moins de cette reconnaissance et de cette gratitude pour cela !

CODY RHODES - Mais quelle gratitude ? Pour m'avoir fait passer soit pour un "fils de", soit pour un faire-valoir pendant tout mon temps ici ? Réfléchissez bien à ce que vous avez fait de moi Vince. Jamais, au grand jamais, vous ne m'avez jugé sur mes qualités dans le ring. Alors que, le talent, et vous demanderez à n'importe qui, je l'avais pour pouvoir être au moins traité correctement. Mais non, à croire que vous vous endormez devant vos propres shows, vous ne vous êtes jamais posé cette question. Toute ma carrière s'est basée là-dessus. D'abord, j'étais vu comme le jeune loup, fils digne de son père, gravissant les échelons en compagnie d'un vétéran lui apprenant les ficelles du métier. Le frêle rejeton de Dusty qui gagne un titre sous les yeux de son père, comme la fin d'un vieux film Disney où paternel et gosse recréeraient des liens par le succès rencontré par l'un des deux. Et même qu'on appellerait ça Maxi Papa et que Dwayne Johnson jouerait dedans ! Ce filon étant exploitable mais devant très vite cul-cul, il faut alors que le fils se comporte en connard et renie son père, ou dénature sa mémoire. Priceless et Legacy sont nés. Je dois me lier d'amitié avec The Legend Killer, Randy Orton, et jouer les mecs qui vivent leur carrière à travers celles de leurs ancêtres. Orton ayant d'autres plans, Legacy se termine, et ici continue le génie créatif de la WWE avec moi. Des associations avec des mecs qui sont devenus des pitres par la suite, afin de boucher les trous... coucou Drew McIntyre et Damien Sandow, un personnage de narcissique parce que j'ai une belle gueule, un personnage moins narcissique parce que je me suis pété le nez et que par conséquent cela ne collait plus avec l'image que l'on voulait vendre de moi... Assez impressionnant comme esprit de réflexion à mon sujet. Et malgré cela, j'ai quand même réussi à redonner de la superbe à un titre Intercontinental sur lequels les jobbers tels que Santino Marella ou Ezekiel Jackson n'ont cessé de pisser dessus. Mais cela est passé inaperçu. La ceinture reste, la créativité et le talent du bonhomme qui l'a réintronisée restent sur le carreau. En parallèle, je me débrouillais toujours pour faire des showstealers dans les grands Pay-Per View, à faire de gros spots à chaque match. Rey Mysterio et moi avions volé le show à WrestleMania XXVII. Cela est également passé inaperçu. A la suite de cela, puisqu'on ne peut pas rester éternellement inaperçu dans ce milieu, deux solutions se sont ouvertes. Soit me faire monter dans la carte, soit me pisser une nouvelle fois dessus. En donnant une mallette du Money in the Bank à Damien Sandow et pas à moi, tout ça pour le faire lamentablement perdre face à John Cena, vous aviez clairement donné une réponse à mes interrogations. Alors que faire de quelqu'un qui a des qualités indéniables mais à qui on peine à trouver quelque chose ? Et à cette question, vous vous êtes dit : "dans la famille Rhodes, après le père, prenons le frère !". Ainsi est né Stardust, alter ego de Goldust. Et après vous demandez de la gratitude, alors que pendant sept ans vous avez visiblement eu une crise de cécité et de surdité avec moi ?

VINCE McMAHON - Rome ne s'est pas faite en un jour, Cody. Il faut du temps avant d'arriver aux somm...

CODY RHODES - ...mets, je sais, je sais ! Ce discours préfabriqué je l'ai entendu des millions de fois. Vous allez ressortir le sempiternel exemple de John Cena, qui jobbait pendant des mois et des mots dans un moule-bite flou avant de devenir le lutteur le plus populaire de la WWE. Vous inquiétez pas, ne gaspillait pas de la salive, j'ai intégré ce principe-là. Alors à moins que vous comptiez arrêter de jouer aux sept familles avec moi ou que vous comptiez vous arrêter de vous foutre de ma gueule, tout est clair dans ma tête. Je ne peux pas rattraper le temps perdu, c'est une certitude, mais je peux au moins éviter d'en gaspiller encore plus en restant chez vous. Après tout, des nouvelles têtes sont arrivées, les Rollins, Ambrose, Owens, et compagnie vont faire la loi maintenant, et encore une fois je resterai sur le carreau. Je sais ce que je vaux, je sais ce que vous valez. Je ne vais pas jouer le bon petit soldat comme Dusty, je ne vais pas jouer le bon petit soldat comme Dustin, c'est trop facile pour vous, et c'est ce qui fait que vous vous sentez si puissant. J'irai là où l'on ne me jugera pas sur un nom mais sur mes performances, sur le ring ou derrière un micro. J'irai là où j'aurais peut-être moins de téléspectateurs, mais au moins une chance d'avoir quelques minutes d'antennes qui ne soient pas anecdotiques tant pour ma carrière, que pour mon patron, que pour le public. Je quitte votre univers simpliste Mr. McMahon. Sans faire de vagues et sans jouer les rebelles comme l'a pu faire CM Punk, sans même fanfaronner devant les caméras, sans rien du tout, comme si je quittais la première chambre d'hôtel venue. Avec tout le respect que les Rhodes ont eu pour vous, mais sans aucune estime cependant. Je pars sans aucune certitude. Cependant, si je serais resté pour jouer les bons petits soldats, j'aurais eu une certitude : celle de rester ignoré jusqu'au moment de mon renvoi. Au moins, si je tombe, je saurais pourquoi et je saurais que je l'aurais mérité.

VINCE McMAHON - Vous manquez de mental, Cody.

CODY RHODES - Et vous, comme d'habitude, vous manquez de lucidité.

VINCE McMAHON - Beaucoup avant vous ont eu ce type d'états d'âme et cette folie des grandeurs. Tous sont tombés.

CODY RHODES - Et bien peut-être que je tomberai. Je n'attends de toute façon pas à ce que vous me mangiez dans la main pour que je revienne vers vous, je n'ai pas cette prétention-là. En attendant je pars à l'assaut sans regret et sans regarder derrière moi. Maintenant, si vous le voulez bien, j'aimerai bien que vous vous en alliez pour que je puisse passer un dernier moment avec mon père.

VINCE McMAHON - Parfait. Mais sachez que vous enterrez votre carrière.

CODY RHODES - Au moins, ce ne sera pas la seule chose qu'on aura enterré aujourd'hui... Maintenant, allez vous en. On se retrouvera sur votre lit de mort, avec toute la même brigade de lèche-culs qu'aujourd'hui et qui n'auront qu'une chose en tête : succéder à votre opportuniste de gendre... Au revoir, Vincent Kennedy McMahon.

TXI
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Date d'inscription : 29/06/2015

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